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Millau. « Ils naviguaient en paire Panhard, les copains à bord »

Après l’ouverture des 100 km de Millau la veille, ce dimanche pour SAVA « c’était la dernière séquence de la saison et le rideau sur l’écran est tombé » sonnant la fin des rassemblements mensuels pour 2023 sur la place Emma Calvé, venant ainsi ponctuer une activité soutenue au cours des six derniers mois.

Pour autant, même « en veilleuse » jusqu’au printemps prochain, guidée par l’esprit de partage qui l’anime, SAVA restera à l’écoute de toute contribution qui pourrait lui être demandée pour des apparitions ponctuelles ou encore, comme programmée, pour offrir prochainement une journée de dépaysement aux ainés.

Ce n’est donc qu’un au revoir adressé ce dimanche par la soixantaine de voitures présentes, parmi lesquelles cette « paire de Panhard », de la génération PL 17, deux sixties de bonne « pointure » de la marque qui vont être à présent « rangées » pour quelques mois.

Equipées toutes deux d’un moteur flat-twin, bicylindre de 850 cm3, à refroidissement par air, sorties de l’usine d’assemblage de la Porte d’Ivry à Paris, le cabriolet de 1961 n’a été produit qu’à 300 exemplaires, quant à la camionnette bâchée de 1963, série F5, utilitaire prisé par les professionnels, artisans, commerçants, livreurs, vignerons… 240 unités seulement auraient vu le jour.

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Une saison de plus pour SAVA qui depuis sa création en 2016, n’a de cesse de tisser sa toile sur son périmètre et de voir, toutes générations confondues, le nombre de ses adhérents et sympathisants augmenter, gage de bonne santé de cet acteur reconnu du paysage associatif du sud Aveyron.

Via
Jean-Paul Guibert
Source
Association SAVA
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