Pauline Delavergne faisait partie du relais de la flamme olympique à Millau ce lundi 13 mai, une expérience qu’elle était loin d’envisager il y a quelques mois de cela et qui l’étonne encore aujourd’hui. « Je me suis retrouvée là grâce à un collègue de boulot qui a envoyé mon dossier il y a un an, une lettre de motivation et tout ce qu’il fallait. Je ne suis qu’une sportive anonyme », raconte cette sportive accomplie, qui regrette que ce soit déjà fini.
« C’était trop court, mais waouh ! », lance-t-elle dès son arrivée. De ce moment inoubliable et magique, la sud aveyronnaise retiendra « les nombreuses rencontres et une belle émulation pour un lundi matin ».
« Quand on est au milieu, on oublie le décor, on ne voit pas les suiveurs, les gardiens de la flamme qui forment la bulle. On pense juste à profiter. Je cherchais juste à trouver des regards et des sourires dans la foule » sourit Pauline Delavergne « ravie que le sport fédère et rassemble. »