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Millau. Alain Bellebouche publie « N’oublie pas tes chaussures blanches »

« N’oublie pas tes chaussures blanches » est un recueil de trente et un textes que livre Alain Bellebouche. Depuis presque toujours, il prend note de ses idées, de ses ressentis, de ses réflexions. Ces notes revisitées, retravaillées ont abouti à ce recueil qui fait état de ce qui lui a toujours, non seulement tenu a cœur, mais aussi de ce qui a donné une direction à sa vie : l’environnement et les droits sociaux.

Son parcours professionnel dans le spectacle vivant, son engagement militant, mais aussi jardinier, faiseur d’objets en bois, et aujourd’hui écrivain nous donne des indices sur ses différentes facettes.

Alain Bellebouche, dans ce recueil, nous dit sa force, son courage, ses doutes, ses questionnements, mais aussi ce qui lui est porteur d’espoir. C’est, selon lui, « une tentative de représentation d’idées qui, à l’instar de la pensée lorsqu’elle vagabonde, tente de saisir un reflet. Celui-là même que peut prendre l’image d’une réalité si difficile à observer, à saisir, à écrire… »

Alain Bellebouche, né en 1954 à Lille, vit à Millau, par choix, depuis près de quarante ans. Une vie professionnelle dans le spectacle vivant, c’est un touche à tout. De l’artistique à la technique puis à l’administration et, pour finir, dans la formation à la gestion au cœur du milieu artistique et culturel. Un parcours militant où environnement et droits sociaux sont, encore aujourd’hui, le quotidien de ses sujets. Avec aussi les tomates rares… Son temps est partagé désormais entre l’écriture, sa grande famille, son atelier bois et ses sites Ouaibe (Petit éphéméride du peuple et de ses amis, Ti-Ré le portrait…).

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N’oublie pas tes chaussures blanches

Recueil de textes, mots d’espoir, pensées énervées et autres gémissements anodins et insignifiants

« Il va être bientôt temps de se taire. Et je ne sais pas faire silence. Alors je me décide à donner à lire ce mélange d’intime ressenti en moi, mais aussi de scrupuleuses observations chez les autres… Il n’y a quelquefois rien de plus qu’une idée, mais toujours il y a du sentiment. Je ne vis qu’avec ça ! Écorché sous la tempête et résolu à échapper au bâillon de la bienséance, au risque de surprendre le quidam, je me décide à proposer à tous, à l’inconnu et à la sœur et au frère, le son de cris qui hurlent en moi… »

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