Pour la Fromagerie Papillon, la QVT (qualité de vie au travail) est au cœur de la nouvelle dynamique impulsée par le Groupe Savencia. C’est dans ce cadre qu’une équipe de 30 coureurs salariés des Fromageries (22% des 135 personnes), s’est fixé pour objectif de courir sur le Viaduc de Millau ce 22 septembre. Après quelques entraînements collectifs à Millau, Saint-Affrique et Villefranche-de-Panat, les collaborateurs Papillon sont tous finisher et fiers d’avoir relevé le défi tous ensemble.
Ils se sont donné rendez-vous ce dimanche 22 septembre pour la course du Viaduc. Une photo souvenir puis chacun a rejoint son numéro de vague de départ et ils se sont vite éparpillés parmi les 9.000 coureurs. Mais pendant la course, via leur groupe WhatsApp chacun a pu dire où il en était de la course et les encouragements sont vites venus, photos à l’appui. Certains salariés n’ayant pas participé à la course ont assuré les encouragements et photos le long des 2,5 km de montée… Chacun ayant donné son maximum, les retrouvailles autour d’un verre de bière ne se sont pas fait attendre…
« Un nouveau commencement
« Nous nous sommes rendu compte via un questionnaire de satisfaction de la qualité de vie au travail (Great Place To Work) que les salariés avaient bien plus soif que nous le pensions de vivre des expériences en collectif, de partager des moments forts, de se soutenir entre collègues », a confié Sébastien Leclercq, directeur des Fromageries Papillon, qui a lui aussi relevé le défi en participant à la course. « Nous avons tout naturellement pensé au sport et à une participation à la course du Viaduc, à partir du moment où chacun des participants prenait l’engagement de s’entraîner, de progresser et de participer dans la mesure du possible aux séances communes de préparation. La course à pied a mis tout le monde d’accord, pas de hiérarchie, pas de plus fort, mais plutôt des conseils, du soutien. Certains s’improvisant coach pour d’autres. Personnellement peu sportif, à 47 ans je me suis lancé à courir depuis juin dernier dans le but de jouer le jeu… Mais à ma grande surprise, et surtout à celle de ma famille, je me suis pris au jeu à courir d’abord une fois, puis deux ou trois fois par semaine. J’ai été surpris de découvrir les effets positifs du sport, mais aussi de redécouvrir la beauté de la nature de notre sud-Aveyron. J’ai été également émerveillé de découvrir la fraternité d’une course, l’entraide entre les coureurs, les encouragements des passants… Ce 22 septembre est donc pour moi et pour nous un nouveau commencement ».