A propos des baisses de subventions et du titre de presse « des efforts associatifs consentis », je dois préciser au nom de l’association Passage à l’Art que nous n’avons nullement consenti à cette baisse de 20 % de nos subventions municipales !
Elle survient malheureusement après deux années de problématiques « covidiennes », mais aussi de mauvais services dans le suivi municipal de notre fonctionnement, que nous évoquerons par la suite… « Bénévoles et présidents ont été au rendez-vous… » affirme Emmanuelle Gazel ! Mais c’est du trompe-l’œil ; pour notre part, croyant avoir des explications sur les « bugs » à répétition de divers services municipaux, lors du rendez-vous qui me fut donné, je fus simplement informé à ce moment-là d’une baisse de 20 % de nos subventions sans aucun recours argumentaire, « vous n’êtes pas les seuls » semblait être l’argument justificatif incontestable !
Outre le fait que le Salon des Arts et Métiers d’Art de Millau, donc l’association Passage à l’Art, œuvre dans le sens de deux labels que la ville est censée défendre (« Millau, ville d’Art et d’histoire » et « Millau ville et métiers d’Art », il faut savoir que l’équilibre financier de cette association est fragile et précaire et que le salon doit générer un peu de bénéfice pour compenser les déficits récurrents de la galerie de la rue Droite…
Voilà, c’est un peu long, mais nous ne pouvons pas laisser entendre un consentement qui n’a jamais été ni demandé ni donné, et il reste vrai qu’après la façon dont sont menées les relations municipales avec notre association depuis deux ans, ce coup de sécateur de 20 %, prétendument consenti, sur nos petites subventions est plutôt vécu comme un coup bas de plus à notre intention, à fortiori si il est parlé de consentement !
La liste détaillée des déconvenues avec la municipalité est disponible sur le site de l’association : www.passage-a-lart.org en haut de page presse sous le titre : déconvenues.
Pour l’association Passage à l’Art,
le président Christophe Liron
