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Millau. Arnaud Viala visite le centre de vaccination

Le député de l'Aveyron a rendu visite à l'équipe du centre de vaccination de Millau et a réagi aux dernières annonces du gouvernement.

Le député Arnaud Viala, retenu par ses obligations professionnelles, n’a pas pu participer jeudi 14 janvier à l’ouverture du centre de vaccination de Millau. Il a cependant tenu à rendre visite aux soignants afin de « se rendre compte de l’organisation, mais également de discuter avec le personnel de la montée en charge des vaccinations ».

C’est satisfait de voir que « tout le monde était à pied d’œuvre pour assurer une montée en puissance dans les prochaines semaines » que le député a échangé avec les professionnels soignants hospitaliers et libéraux.

« J’ai vu le déroulement, j’ai trouvé une équipe mobilisée et des patients rassurés ».

©DR

Dès lundi, l’accès aux vaccins sera ouvert aux plus de 75 ans pour s’étendre à la quasi-totalité de la population dans les semaines à venir. Arnaud Viala « considère qu’aujourd’hui, c’est la seule solution pour endiguer cette épidémie  : Il se fera vacciner quand il sera dans la catégorie concernée ».

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Trouver l’équilibre entre l’acceptable et l’indispensable

Cette visite intervenant au lendemain des annonces faites par le gouvernement, le député a réagi à la situation.

Il salue « la responsabilité et le respect de ses concitoyens vis-à-vis des contraintes imposées » expliquant que « c’est grâce à cela qu’on en est là où on en est aujourd’hui ».

Bien évidemment, on se passerait de tout ça, mais réussir à éviter le confinement, ce n’est déjà pas si mal, il n’y a aucune raison de leur en infliger davantage : il faut trouver l’équilibre entre ce qui est acceptable et ce qui est indispensable ».

Arnaud Viala n’est pas « favorable à un reconfinement, ni le week-end, ni le dimanche » et préfère faire confiance à la responsabilité des gens face à une situation « très évolutive qui engendre de fait, des mesures prises au coup par coup ».

A ce sujet, il remet d’ailleurs toujours en cause la demande faite au parlement de valider pour six mois la prolongation de l’état d’urgence.

Ce tempo est beaucoup trop long, il faut faire des validations intermédiaires tous les deux mois parce que les conséquences sont trop lourdes ».

Un autre tempo du gouvernement qui n’est pas du gout du député, c’est celui des contrôles et des tests aux frontières qui auraient dû selon lui « être mis en place sans délai ».

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